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The Nanard Show
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27 janvier 2015

Un jour comme un autre en Austrasie Par Michael

Très chers amis,

 

Je vous propose ici un texte qui n'est pas de moi. ma générosité sans limite et mon sens aigu du devoir civique me pousse à vous laisser découvrir l'histoire originale de mon ami Michael.

 

Je vous la livre donc sans censure :

 

un jour comme un autre en austrasie

 

 

ET si....

 

L'inspecteur principal Duplan arriva à l'hôpital central du Duché d'Austrasie. Il passa l'accueil sans porter un regard sur le personnel présent derrière le bureau. Il ne répondit même pas à l'infirmière qui essayait de lui demander qu'il était. Il traversa le couloir jusqu'à l'ascenceur direction le troisième étage.

 

Les portes une fois refermée il repris une chique tout en se regardant dans le miroir. 

" Mais qu'est ce que je fais là? Comme ci je n'avais que ça à faire, entre mes dossiers les réunions de crises et les visites chez le psy conjugal...

Les portes s'ouvrirent, Duplan fit demi tour et se dirigea vers la chambre 465. Duplan venait de réaliser que c'est hôpital était vraiment étrange 3ème étage mais chambre numéroté 400 encore un truc bizarre en austrasie.

 

Duplan entra s'en frapper, dans la chambre se trouvait le docteur Wasse, Kathy l'infirmière et le patien.

Dans la pièce régnait un certain malaise, le médecin et l'infirmière semblait vraiment inquiet pour le patient. Mais c'était quoi encore cette bizarrerie depuis quand un doc s'inquiétait pour un patient et putain comment s'appelait ce qui ressemblait plus à un légume qu'à un être humain.

 

-"Doc"

- "Inspecteur merci d'être venu"

- "Avais je vraiment le choix? 

Duplan savait que non. Au début il avait envoyé baladé le médecin, il lui avait poliment dit qu'il n'en n'avait rien à foutre mais son chef, l'immense facture hestétique de son épouse et une menace de régler la circulation dans les couloir de la bourse national l'avait fait plier.

- "Bon doc je vais essayé de rester courtois encore une fois. Expliquer moi et de manière rapide pourquoi le cas de ce légume devrait m'intéresser. 

 

A ces mots Kathy fondit en larmes et les yeux du médecin exprimait la haine la violence et toute la douleur qu'il voulait infliger à cet inspecteur.

 

- Ok vu vos réactions vous avez l'air de le connaître. 

Duplan attarda son regard sur le patient. Visage crispé yeux injectés de sang vitreux un filet de bave coulant du rictus formé par ses lèvres. Les doigts étaient bandé. Les bandages étaient rougis par le sang.

 

 -, En fait il s'agit de Martin Chunknig notre infirmier chef.

 - Et qu'est ce qui l'a mis dans cet état là un bad trip, il a visité trop souvent la pharmacie.

 

l'infirmière à ces dernière paroles craqua complètement, elle cracha au visage de l'inspecteur et quittant la chambre en le traitant de salop.

 

 - Je leur fais souvent cet effet là je sais.

 Wasse grommela quelque chose entre ces dents, puis il reprit son récit.

 

- Marin était au dessus de tout soupçon, un garçon honnête...

Blablabla aller toujours la même rengaine mais la fin l'employé modèle s'avère toujours être un sale type, un drogué, un psychopathe....

 

-Vous m'écoutez inspecteur ?

- oui oui continuez je vous en prie.

 

- Donc comme je vous le disais Martin est venu me voir pour 7 cas survenu dans notre hôpital, semblant similaire. Etat végétatif suite à une êxtreme activité cérébrale, blessure au niveau des doigts, les yeux brûlés suite à une exposition trop longue à une lumière où autre chose. 

Il était persuadé que les causes étaient les mêmes et craignaient soit à une épidémie soit à l'apparition d'une nouvelle drogue sur le marché.

 

 Duplan s'approcha du patient et commença à manipuler les mains.

 

- Au départ je n'ai...

- C'est quoi comme type de plaies au mains.

 

- Heu, a oui les trois couches de peau sont complètement usée...

- Etranges comme plaie pour un drogué...

- Et ou on été retrouvé les victimes, nos équipes ont pas été appelée pour ce genre de faits.

- A chaque fois nous avons été appelé pour un malaise ou pour une attaque nous n'avions jamais de raison d'appeler les services de protection et de sécurité du citoyen..

  • Mouais, bon et entre Martin qui vous raconte qu'il a 7 malades semblables et lui qui fait le 8ème qu'est ce qui s'est passé.

-Donc comme j'essayais de vous expliquer, il a commencé à m'expliquer qu'il y avait des similitudes mais je n'y croyais pas. A la fin j'ai craqué, évidemment je ne voulais pas me mouiller je ne voulais pas souiller ma notoriété alors je lui ai dit de faire ses recherches son rapport et puis j'analyserai le tout. J'avais confiance en Martin il avait l'étoffe d'un médecin mais il n'avait pas eu de chances en 2ème année il avait perdu au tirage au sort et n'avait pas pu aller plus loin. Il devait encore attendre 3 ans pour reprendre ses études.

Et c'est ici que ça devient dingue.

 

Un truc de dingue faudra vraiment que je m'habitue à ce que rien ne soit normal ici.

 

  • Qu'est ce qui vous a paru aussi étrange.

  • Rien

  • Pardon

  • Il n'y avait rien d'étrange, pas de substance nocives, pas de traces de piqûres, aucun point commun d'un point de vue physiologique ( la je suis pas sur du therme). Nous avons 5 hommes, 2 femmes, un hispanique, un africain. Ils ont tous mangés à des endroits différents et ils habitent tous dans des quartiers éloignés

 

  • Donc aucun point commun

  • Non et c'est là que ça devient vraiment étrange. En fait chaque malade a été retrouvé devant ou a proximité de son ordinateur.

  • Mouais pour l'instant rien d'extraordinaire mais bon, ça peut être un point commun. Est ce que Martin vous en a dit plus.

  • Non on a eu une discussion un peu houleuse mardi et nous n'avons plus eu le temps d'en parler. Mais j'ai trouvé son carnet dans la poche de son pantalon.

Duplan regarda sa montre à gousset portant l'insigne officiel de SSPC.

-Ok doc le temps qui vous était impartis est fini. Je prends le bloc notes et je rentre dans mes bureaux. Je vous recontacterai après que j'ai lu ce bloc notes et s'il y a quelque chose d'intéressant dedans.

Sans attendre la réaction de Wasse, Duplan quitta la chambre sans même saluer le doc.

 

Après s'être battu pendant une demi heure avec l'ascenceur pour essayer de retrouver l'étage de la sortie  ( encore une bizarrerie Austrasienne) Duplan pu enfin s'assoire dans sa voiture.

 

Il jetta le carnet sur le siège voyageur, pris son paquet de cigarette et s'alluma sa première clope de la journée. Très doucement il laissa repartir se nuage de fumée de ses poumons. La cigarettes était totalement tolérée en austrasie, vente libre pas de pub antitabac, pas de mesure pour faire que les gens arrêtes de fumer. Il y avait juste quelque lois qui interdisaient la consommation de tabac. Ces lois étaient juste différentes en fonction des rues où vous vous trouvviez. Dans la 5ème avenue vous pouvez fumer dans votre voiture mais au croisement avec crosstreet et Napoleon avenue vous ne pouvez que fumez dans un abris bus il est interdit de fumer dans son véhicule ou en rue il est également interdit d'avoir une cigarette éteinte dans sa poche...

 

Arrivé au bureau vers onze heure, il profita de la pause de travail ( non pas pendant le travail ) afin de lire le carnet de Martin.

Alors qu'il avait l'intention de faire une lecture diagonale rapide, il en fut tout autre.

Martin avait vraiment fait une terrible enquête super détaillé, mais cela n'était pas écrit comme un rapport on aurait dit qu'il écrivait un roman. Ce qui fut surprenant c'est qu'il avait même pensé à retourner sur palce pour enquêter. Il parlait de ses recherches sur le net les plis qu'il avait échangé avec d'autres hopitaux, infirmiers ou médecin même en dehors. Il avait pris le risque de passer la barrière.

 

Au bout de deux jours de recherches, quelque chose revenait régulièrement. En fait sur des places de discussions diverses une légende urbaine circulait. Un virus informatique tueurs sévissait. Évidemment au début c'était très vague pas de nom rien, puis au troisième jour un nom sorti le nanard.

 

Quel nom étrange pour un virus informatique, d'habitude c'est plus effrayant.

Sur la dernière page il était juste inscrit CANALBLOG !!! et souligné en rouge. Puis plus rien.

 

Duplan était très déçu, ce garçon avait fait une super enquête alors qu'il était à deux doigts de la solution plus rien . C'était rageant.

 

Il lui restait une demi heure avant que les hommes ne reviennent et se mettent en pause ou reprennent leur activité ou, en fait il arrivait toujours pas à comprendre comment ils découpaient leur journée.

 

Il alluma son ordinateur en tapant son mot de passe sur son clavier puis en appuyant sur interrupteur.

 

Il regarda d'abord si le bureau des services d'intrusion et de violation de la vie privée, avait quelque chose sur Martin.

Assez vite, il arriva a trouver toutes les pages qu'il avait consulté, les achats et déplacement qu'il avait fait. Mais comme tout bon Austrasien il savait cacher ses traces sur le net. Ses recherches se cachaient entre des visites de sites porno, de création de bombes, de site sur l'apologie des partis socialistes... Il était impossible d'y voir clair en une demi heure.

 

-Bon plus qu'une solution reprendre les recherches.

-Commençons par ce « Nanard »

Au départ il ne trouva rien mais en effectuant une recherche sur Medekmia il s'aperçu que Nanard serait rattaché à un prénom, mais celui-ci est intedit en Austrasie par la surveillance du code du bon goût et de la décense.

 

Duplan se dit que ce prénom devait vraiment être étrange voir horrible.

 

Mais rien de plus.

Duplan regarda alors la dernière page. « CANALBLOG ». Son pouls commença à s'accélérer c'est con c'est juste un mot mais le dernier de Martin. Pourquoi ce fut son dernier mot est ce que c'est lié avec son état.

 

  • Ben y a qu'en essayant qu'on trouvera, alea jacta est bordel de merde.

     

    Résultat de la recherche sur Shootle 0 sur 48756000.

     

  • Ok je suis pas mort mais ça m'avance pas des masses. Comment t'as trouvé quelques choses ou t'as cherché y a rien sur notre net... Oh à moins que ... il me reste 9 min juste assez pour faire une recherche au delà de la barrière. D'abord éteindre le pc et le rallumé en utilisant le code de Marius. 6 min. C'est ici que ça se complique ouvrir à peu près 300 pages sur des trucs super surveillé qui vont attiré toute l'attention. Lancé ma recherche sur la recette de la soupe à la courgette, trouver la page du bouillon, 2 min 25. Trouver la partie de la recette ou il y a un kangourou, 1 min 29, cliquez dessus et...

  • Waw je viens de passez la barrière et voici le moteur de recherche, pas mal le design. 58 sec. Bon soyons fou tapons nanard et canalblog sur le moteur de recherches, 15 sec.

  • P'tain les gars regardé qui est là a encore travailler à l'envers. Allez Duplan c'est l'arrêt de travail quitte ce pc tout de suite tu vas t'attirer des ennuis.

    Aucune réaction

    Omaley s'approcha de Duplan et tira sur son épaule.

  • Eh Duplan je te cause .

    Le clavier d'ordinateur de Duplan était couvert de sang et son écran était noir et fondu. Le visage de Duplan était horrible un rictus terrible, bave au commissure des lèvres ses yeux étaient sans teint et injecté de sang. De ses doigts crispé coulait un filet de sang.....

     

    THE END

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