Rêvons ensemble

ma mauvaise humeur étant passée, je vous propose un petit jeu,

il y a longtemps que j'ai envie de vous le proposer. Mais, le bon déroulement de ce jeu dépend uniquement que de vous.

Le principe est simple, je vous demande de rêver... Explication.

Je vais vous donner une époque et je vous demande d'imaginer ce que vous y feriez. D'après ce que vous connaissez de vous, vous feriez quoi en...

La première date c'est : 1545 après JC.

Alors, à vous d'imaginer et pourquoi pas le mettre sur votre blog? Si les autres ont envie de rêver un peu

Ma réponse suivra bientôt

Comments

[bigou93700]

je serais chanteur de rue, balladin et je vivrais d'amour et d'eau fraiche déclarant ma flamme à toutes ces gentes dames.

Amitiés de Bigou

[trent]

J'entends la clochede l'église qui sonne sept fois. Je rappelle Trulla ma mule. Nous avons assez travaillé pour aujourd'hui,mes genoux me font souffrir le martir et Trulla peinne à tirer la charrue.
Et bien ma bonne bête, j'en ai finit de te faire souffrir on va pouvoir rentrer au bercail et pendant que tu profitera de ta paille j'irai faire un tour chez la vieille folle pour qu'elle me donne son onguent qui me fait tant de bien contre la douleur.
Louis Du Champs retourne paisiblement vers le village. Aujourd'hui il a pris le chemin du cailloux boiteux, car il sait qu'il pourra rencontrer bon nombres d'habitants discuter, peut être faire une partie de colignoux.
Etrangement jusqu'au pied de la bute de l'ogre Louis ne rencontra âme qui vive ce qui l'embetta fortement car la montée de la bute de l'ogre seul n'était pas chose agréable surtout après une dure journée et avec le gosier sec.
Lorsqu'il commença a monter il sentit tout d'abord une odeur de viande brûlée. La bouche de Louis fut inondée de salive à l'idée de manger un bon cochon de lait. Louis s'arrêta.
Non di dju ma brave Trulla il s'emblerait qu'on ne m'aie pas prévenu pour une fête. La colère l'envahit et malgré la fatigue et la douleur il montat le but au triple galot tout en rouspetant. Petit à petit il vit la fumé, puis il entendit les cris. La rage le poussa à encore accélérer le pas, le sang tapait à ses oreilles et l'empecha d'entendre clairement les buit provenant de la fête
La fumée commença a emporter une odeur différente, ce n'était pas l'odeur du cochon de lait. Louis ralentit tout doucement, les sons qui lui parvenait se fit plus clair. Ce n'était pas de cirs de joie, des bruits de fêtes mais des cris d'horreur, des râles de douleurs.
Lorsque Louis fut en haut de la bute il put voir le village à une cinquantaine de mètre. Le village en train de bruler des hommes décapités, empallé. Au milieu de ce tableau d'horreur des cavaliers exhibant les armoiries de Belzebuth.
Louis était tétanisé, il était pétrifié. L'un des cavaliers vit Louis, sa monture se cabra et fonça au galot sur Louis. Le temps que louis comprenne le cavalier n'était plus qu'a dix mètres. Louis se retourna. Il commença a courir vers la pente quand il senti un objet froid s'enfoncer dans son dos. Sans que Louis comprenne quelque choses, le cavalier venait de lui lacérer le dos avec une hache. Louis s'éffondra en sentant un liquide chaud se répendre dans son dos. Le cavalier ramena sa monture près de Louis puis il le piétina.
Voci comment ce finit la journé du 17 juillet 1545 dans le petit bourg de Callombart