La guerre des comtes - suite

Joseph allait être présenté devant le grand Robert. Le comte avait coutume de faire le tour de ses trouves, les plus valides soutenaient blessés. Joseph lui n'avait, comme toujours, aucune égratinure. Hors en ce temps là faire trois campagne et ne pas être blessés était un excercice très difficile.

Robert d'Artois s'arreta devant le sergeant Joseph et le toisa du haut de son cheval. Il le regarda comme on regarde un insecte, sans haine ou sans mépris mais sans humanité. A cette époque une armée est constitué de mercenaires ou de cerfs... Les mercenaires sont les privilégiers, les nantis de la guerre partant au combat soit quand le risque est minime ou quand il n'y a plus qu'eux, une sorte de garde impérial avant l'heure. C'est dire donc qu'un pauvre petit sergeant servant dans un régiment d'archer n'a pratiquement aucune valeur.

Pourtant, tout en regardant Joseph, Robert eu soudain le souvenir que cet homme avait retourné son arme contre son commadant. Un geste peu habituel et surtout suivit par un grand nombre de ses camarades.

"Qui es-tu?"

"Joseph mon seigneur! je viens d'Aras et j'étais tisserant avant d'être recruté pour servir la comtesse Mahaut"

Robert haissait Mahaut, les personnes de sa suite savait qu'il ne fallait pas dire ce nom sous peine de mort. Le malheureux Joseph n'en savait rien...

"Quoi vilain? Tu guerroy pour le compte de cette truie de Mahaut?" Les Colères de Robert était célèbre dans tout le royaume... Mais Robert était un homme généreux et droit. Il ne tuait que rarement de sang froid.

"Pourtant, je t'ai vu retourner ton arme contre tes propres troupes. prouquoi as-tu fais ça?"

Joseph devait jouer sérrer, il ne pouvait pas se permettre d'avouer au grand Robert qu'il a agit pour avoir la vie sauve?

"Monseigneur, tout comme vous je hais le comtesse! C'est à cause d'elle que j'ai du quitter Aras et ma famille. Quand l'occasion s'est présenté de vous servir je n'ai pas hésité."

Robert éclata de rire, un rire gras bruyant.

"Ahaha, alors comme ça tu as choisis mon parti. Bravo tiens voici deux livres, tu les boira à ma santé! Et rejoind mes archers, tu prouveras ta valeur et ta loyauté durant notre campagne. je saurai me montrer généreux si tu te montre fidèle"

voilà donc comment Joseph réussi à survivre a cette terrible bataille.

Personne, après cette petite conversation n'aurait pu prévoir ce qui allait se passer... Une histoire d'une longue amitier plein de rebondissement et qui aménera bon ans mal an, la fameuse et terrible guerre de cent ans

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