Dites le avec des mots

Il faut beaucoup  plus de temps pour écrire une bêtise que pour la dire !

Devrais-je écrire, pour la lire.

Car sachez le, amis lecteurs au bord de l'eau, il n'est pas facile pour moi de trouver le temps de vous écrire une bêtise.

Car Nanard ne serait pas Nanard, et le monde ne serait pas le monde, la lune ne serait pas la lune, l'eau ne serait pas l'eau, le feu ne serait pas le feu, si je vous proposais une bêtise ordinaire.

A l'image du dessinateur (le vivant, l'autre n'a plus ce genre de problème) qui cherche une inspiration, je souffre moi aussi de la bien connue "page blanchonite". et je galère parfois pour vous proposer une chronique de qualité.

"Mais mon cher Nanard", seriez-vous tenté de dire, "tu ne nous a jamais proposé une chronique de qualité".

A cela, je vous répondrai que vous avez raison. Mais pour ma défense, mes bêtises valent bien celles de Nabilla ou autres anges de la téléréalité...

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Bon d'accord, admettons que je sois plus moche que Nabilla, que j'écrive plus de conneries qu'à Secret story et que j'ai moins de Followers qu'un vieux dans un home, mais bon... Depuis quand c'est la qualité qui compte? Depuis quand c'est la quantité qui compte?

Après tout ce qui compte vraiment, c'est que toi, oui toi, tu me lis ami lecteur sans supplément mayo.

Et tant qu'il y aura dans le monde (aux dernières nouvelles une personne des Fidji consulte ce blog) au moins une personne pour me lire, j'aurai au moins une raison d'écrire.

Alors, oui j'ai pas trouvé d'inspiration aujourd'hui, le degré de franche rigolage est proche de zéro. L'humour du jour est proche du score d'un match du standard (proche de zéro donc) ou proche des scrupules d'un politicien en période électoral (si vous avez du mal à suivre, comprenez proche de zéro).

Mais comme dit le dicton, "tant qu'il y a du clavier, il y a de l'espoir"