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27 juin 2007

Le livre de Caïn partie 8

Le professeur n'était toujours pas remis de ses émossions. Manifestement la peur était toujours présente. J'avoue que moi aussi j'ai peur. L'idée d'un champignion pouvant contrôler mon esprit n'est pas des plus réjouissante et je ne sais pas ce que l'avenir me réserve. Mais pour l'heure c'était à moi de faire des confidences à Michael. D'abord parcque je n'ai pas envie de lui cacher qu'un homme le soupçone de banditisme et aussi pour réengager une conversation qui avait tendance à resembler à une discussion entre deux dépressif sourd et muet.

"Professeur, je vous disais qu'un homme est venu chez moi ce matin. Un Suisse, il s'appel John quelque chose.
et figurez-vous qu'il vous crois impliqué dans l'attentat d'hier et qu'en plus il me propose un boulot à l'ambasade."

Vous n'avez jamais vu le professeur qui vous regarde d'une tel façon que vous ne savez pas s'il va vous cogner ou hurler? Eh bien là à l'instant je le vois. Il me regarde fixement dans les yeux sans me dire un mot paralysée par mes mots. On aurait dit que chacune de mes syllables étaient autant de poignards planté dans le coeur. Au bout de ses quelques secondes qui parrurent des heures il se décida enfin à me répondre.

"John Vanshëlhufel! Mon ami vous êtes mal, il s'agit d'un homme de main du groupement, je peux vous assurer que le jour où vous le reverrez il y aura un mort. Cette homme est d'une cruauté rare. Il a kidnapé la fille de l'ambasadeur suisse en Belgique pour pouvoir avoir un poste en vue dans l'ambassade."

"Mon dieu, c'est horrible! Mais j'ai reçu cette homme chez moi. Heureusement je n'ai ni femme ni enfant. Vous pensez donc que je ferais mieux de ne pas allez au rendez-vous de demain?"

"Certainement pas mon ami, vous n'y surviveriez pas! Je vous conseil plutôt de fuire et de ne surtout pas rentrez chez vous."

"Dommage, pour une fois qu'on me propose du boulot. Mais dites moi, si je ne rentre pas chez moi, qui va s'occuper de Robert?"

Le professeur semblait avoir repris de poil de la bête. Quand soudain...

"Bang!"

Pour la seconde fois en deux jours le livre s'illumina. jusque là, je n'avais même pas remarqué qu'il était là, sur la petite table en bois du salon du professeur. Le spectacle était toujours aussi incroyable. c'est véritablement magique de voir ce livre en argent briller de ces milles éclats. La lumiére était toujours aussi belle apaisante. Elle agissait comme une drogue, plus je la regardais et mieux je me sentais. le phénomène dura encore quelques instant puis, comme hier, la voix féminine se fit entendre.

"la personne part, les erreurs reste"

Deux secondes après la fin de cette phrase les murs et le toit de la maison se sont effondrés.

Je ne me souviens plus de rien après, je me suis réveiller deux jours plus tard à l'hôpital Saint Jean de Bruxelles en compagnie du professeur et d'un medecin grabataire qui regardait distraitement mon dossier. C'est un homme de grande taille, les cheveux blancs, une paire de lunette sur un nez long et fin, le dos légérement courbé en avant, et de longue jambe fine que recouvrait un pentalon en velour d'un age aussi avancé que lui. A quelques pas de lui une infirmière et un collègue discutait de notre cas.

Mais revenons à notre vieux docteur. Son comportement me semble étrange. Depuis que je suis réveillé, mais j'ai bien fait attention de ne pas me signaler, il n'a jamais regarder le moindre des dossiers qui lui était présenté. De plus il passe son temps au téléphone à donner des informations sur un certain "Daziel".
Enfin il semble m'accorder un peu d'attention. c'est dingue non? même mourrant personne ne semble s'intéresser à moi.

"Alors mon jeune ami, on l'a échappé bel hein? Et Mon compatriote, monsieur Vigaux aussi!"

"Docteur, c'est un vrai miracle, quand j'ai sentis le mur s'effondré sur moi, j'ai bien crus ma dernière heure venue. heureusement, par je ne sais quel miracle nous en sommes tous indemne."

"Fort heureusement oui, excusez-moi mais j'ai d'autre visite à faire aujourd'hui, je reviendrai vous voir dans un heure. d'ici là reposez-vous bien."

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Commentaires
T
Sans vouloir en mettre plein la vue de ma part je voudrai juste te corriger sur une petite erreure le petit mot magique c est Supercalifragilisticexpialidocious <br /> je sais c longt compliqué à retenir mais si une tarte de marie poppins y arrive tu peux le faire vas y essaye.
T
tu utilises quoi comme dé un dé 6 ou un dé 10 moi j'ai du dé 4 au dé 100 à toi de voir pour dé crire
N
sans sucre pour moi...<br /> <br /> Alors: superkaliespralidosius...<br /> <br /> Oui car quand on a rien à dire... il reste ce mot magique. <br /> <br /> Pour le reste merci pour tes conseils, je passe donc mes soirées a décrire... mais c'est dure car j'aime pas ça lol<br /> <br /> Bisous a tantôt
T
Je proteste je vilipende je me rebelle je monte aux craineaux poitrine au vent face à l'ennemi du haut de mes baricades je te jette la première pierre à toi oui toi qui pleure qui geind qui se lamente qui gémit pour avoir des coms et quand l'individu landa se tuent, après des heures de dur labeures, en jettant ses dernières forces pour t'encourager te guider t'aider te conseiller tu regarde le message avec dédain mépris condescendence et tu passes au dessus tu ne réagit meme pas. Je suis triste, désapointé enragé et je te déclare la guerre demain 10h rendez vous ici sur cette page.
T
la suite la suite.<br /> Sinon plus sérieusement c bien comme rebondissement la maison qui s'éffondre après le livre qui parle mais on dirait un enfant qui raconte une histoire et qui passe de la situation initiale à la situation finale mais sans les rebondissements ne soit pas pressé explique plus les réactions des gens face au livre qui se met à parler et fait mieux comprendre au lecteur la relation livre et tremblement de terre ou l'inverse( si j'ai mal compris) n'oublie pas que tu joues avec l'esprit du lecteur tu es ses 5 sens je sais que l'exercice est difficile et périlleux mais en lisant le lecteur doit voir apparaitre la maisons le verre dans lequelle on voit les premières ondes de chocs un livre qui tombe a terre tout doucement le professer sentit le tremblement de la maison de fàçon toute douce, c'était tellement léger qu'il pensait avoir les jambes qui tremblait du à la fatigue ou à une chute de tension puis ce fut le cadre du portrait de son père qui se détacha il regarda michaêl et se dit qu'il y avait quelque chose d'anormal qui se passa une terreur enfantine se lisait sur le visage de michaêl, on aurait dit un enfant qui avait peur du noir, puis le professeur vit du platre tombé sur sa veste. Doucement il leva la tete il vit une petite fissure au milieu du plafond une légère craquelure. Elle s'agrandit de quelque centimètre sur la droite puis sur la gauche et en un instant le plafond ce fendit complètement. Le professeur resta tétanisé et regarda bêtement le plafond s'éffondrer sur lui. Michael quant à lui se jeta sur le côté en vue de s'abriter. Puis ce fut le noir le silence, non pas tout à fait michaêl entendit un bruit sur BOUM BOUM BOUM, c'était les battements de son coeur qui résonnait dans ses oreilles puis plus rien... <br /> Tu vois j'ai décris un peu plus je sais c longt et tu n'as pas toujours le temps mais on ne pond pas un roman en un jour à chaque jour suffit sa page (c pas de moi t'inquiète)
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